Kayak Polo

Situé en plein cœur du marais audomarois, le Canoë Kayak Club de Saint Omer (CKCSO) vous accueille tout au long de l’année pour vous initier ou perfectionner à la pratique du canoë kayak. Vous pourrez également découvrir un sport impressionnant : le kayak polo, qui partage des aspects techniques communs avec le waterpolo et le handball. Le CKCSO propose des balades en canoë et des activités multisports pour les amoureux de la nature.

La base de kayak polo en détail :

• De 2 nouveaux bassins homologués aux normes internationales
• Une aire de stationnement
• Un espace pour les athlètes
• Une aire pour les spectateurs
• Un site paysager

Le parking

Fini la prise de tête et la course contre le temps. Dès la réouverture de la gare, ses utilisateurs pourront disposer d’un nouveau parking à proximité immédiate des quais et des voies. En effet, un parking silo (c’est-à-dire sur plusieurs niveaux) en lien direct avec la gare va être érigé. Il comptera environ 270 places réparties sur 2 niveaux et sera construit à la fois sur l’emplacement actuel du parking de l’Europe, avenue de l’Europe, et sur la friche qui sépare ce parking de la rue Saint-Martin (plus communément appelée route de Clairmarais). Une passerelle située au premier niveau du parking permettra de rejoindre directement le parvis de la gare sans traverser la route. Le gain de temps des usagers va être considérable. Le stationnement dans ce parking sera gratuit mais priorité sera donnée aux usagers de la gare selon des modalités qui restent à définir.

Les Quais

Le quartier Saint-Sépulcre - Quai du Commerce se situe au cœur du centre historique de Saint-Omer. Le démantèlement des fortifications de la ville à la fin du XIXe siècle a modifié le quartier avec la création du quai du Commerce et le redressement du canal de Neuffossé. Ce dernier constitue néanmoins toujours la limite physique de la ville historique.
Un aménagement paysager et un pont font le lien avec la nouvelle gare au début du XXe siècle.
Après le démantèlement des fortifications, un travail de couture a été réalisé avec le cœur de ville et l’on a conservé les mêmes hauteurs et gabarits de construction. La couleur brique rouge et le style architectural du quartier marquent une différence avec le centre-ville et ses constructions en brique jaune.
De nos jours, le quartier est caractérisé par la présence des habitations à loyers modéré (HLM) issus lors de programmes de résorption d’habitat Insalubre des années 70/80 et d’habitat ancien privé souvent dégradé.
Par sa position au cœur de l’agglomération, ce quartier regroupe les deux axes de la stratégie urbaine locale : la structuration d’une des principales portes d’entrée de l’agglomération et la reconquête du parc privé ancien de la ville.

Le Parc urbain

L’ancien canal de Neuffossé, appelé aussi « Vieux canal », s’étire sur près de 5 km entre ses deux confluences avec le canal à grand gabarit. Il s’écoule en lisière du marais audomarois, traverse deux villes : Arques et Saint-Omer et frôle Longuenesse.
Le cours du canal est rythmé par 3 écluses : l’écluse carrée d’Arques ainsi que les écluses Saint-Bertin et du Haut-Pont à Saint-Omer. Trois passerelles pour piétons enjambent le cours d’eau, l’une se situe à l’écluse Saint-Bertin la deuxième appelée « Le Pont rouge » se positionne en partie médiane du quartier du Haut-Pont et la troisième, en bas de la rue de Dunkerque a été inaugurée le 25 novembre 2017.
Les interventions menées ici visent à valoriser la voie d’eau. Elles contribueront, à l’échelle de l’agglomération du Pays de Saint-Omer, au développement de liaisons continues depuis Eperlecques, au nord, jusqu’à Aire-sur-la-Lys, au sud.
La présence du canal de Neuffossé est le premier et principal atout du parc urbain. C’est l’axe structurant qui longe tout le secteur et qui lui donne son unité et son identité. Il doit être la colonne vertébrale de l’organisation des liaisons douces par une vaste démarche de reconquête des berges.

Halle Aux Choux

Situé entre le centre historique et le marais, ce quartier a connu, grâce à son port, une importante activité économique. Le site se développe tout le long du canal de Neuffossé, sur la rive droite, face à la berge plus minérale de la rive gauche, côté ville historique.
Ce quartier fait le lien entre la gare, le centre historique et les faubourgs. Grâce à la nouvelle passerelle piétonne et cyclable, il va devenir le trait d’union naturel des déplacements piétons et cyclistes entre ces trois pôles. Les surfaces foncières disponibles pourraient permettre, à terme, la création de 120 logements. La vocation économique traditionnelle du secteur sera retrouvée avec un potentiel de 10 000 m2 d’activités tertiaires entre la gare et le canal. Le développement d’un espace de logistique urbaine pourrait également être envisagé. Les véhicules accèderont au site par une voie interne laissant la berge aux modes doux. Des espaces verts publics ou privés traversant et perpendiculaires au canal feront le lien entre les deux. Le stationnement sur la rive droite sera localisé de manière privilégiée entre la future voirie et les espaces ferroviaires, mais aussi en rez-de-chaussée des bâtiments d’activités.
Les marronniers qui ont donné leur nom à l’allée de la rive droite, malades, seront abattus et remplacés.

Boulevard Urbain

C’est un serpent de mer. Un sujet dont les documents d’urbanisme parlent depuis plus de 40 ans. Le projet d’aménagement du pôle gare s’accompagne de la création d’un boulevard urbain pour connecter directement les communes de l’agglomération à la gare, à la zone du Brockus et au lycée de l’Aa Concrètement, ce boulevard urbain long de 1,3 km, reliera l’avenue de l’Europe à la rocade de Saint-Omer en enjambant le canal à proximité immédiate de la base de kayak-polo, rive droite. La voie de circulation sera créée sur l’ancien site de l’entreprise SABLA. Sur l’autre rive, le boulevard sera connecté à la rocade de Saint-Omer via la rue Rembrandt, à Longuenesse, tout près de la caserne actuelle des sapeurs-pompiers. Des giratoires seront construits pour connecter cette nouvelle voie de circulation à celles déjà existantes. Ce boulevard détournera ainsi une grande partie du flux de circulation qui passe actuellement soit par le quai du commerce soit par la rue de Thérouanne.

Filature

Le canal favorisa le développement d’industries (filature de jute) et de stockage (silo) dans le quartier du Malixoff. Ce dernier fait alors le lien entre ville, faubourgs et marais. Le creusement du canal à grand gabarit dans les années 50 entraîne l’arrêt des activités historiques au profit d’activités tertiaires qui s’y implantent.
Dernière réserve foncière significative de la commune, le Malixoff s’étend sur 15 à 20 hectares. Idéalement placé entre ville et nature, le site devra faire l’objet d’un développement réfléchi et exemplaire favorisant l’éco-conception, concourant au caractère innovant et écologique du quartier.
Situé à 500 m de La Station, le site jouit d’une implantation favorable à la création d’un quartier exemplaire et innovant, notamment dans les domaines des transitions écologique et énergétique, en favorisant les mobilités durables, mixant logements, activités et services de proximité...
Des axes de liaisons douces déjà existantes permettent de relier ce site au canal de Neuffossé et au sentier de grande randonnée. L’aménagement des futurs espaces publics au cœur des quartiers d’habitations et d’activités permettra d’améliorer la qualité urbaine, la vie sociale et les déplacements piétons et cyclables.

Cavalerie

Le quartier Foch dont la construction débute en 1782, constitue le principal arsenal de ville, c’est-à-dire le lieu de stockage des armes et de fabrication des munitions. Pendant la majeure partie du XIXe siècle, il abrite des régiments d’artillerie. En 1897, l’arsenal est transformé en caserne de cavalerie et prend le nom de caserne d’Esquerdes. Ce changement implique la construction de nouveaux bâtiments comme le manège au sud de la caserne. Le site sera occupé par différentes unités britanniques pendant la Grande Guerre, puis accueillera, jusqu’en 1999 le Centre Mobilisateur 33. A sa fermeture en 1999, les locaux sont progressivement réinvestis par des entreprises privées et des services publics. Des logements sont aménagés dans les étages.
La structuration du quartier repose sur la rénovation de l’ancien manège à chevaux dont la toiture accueillera une centrale photovoltaïque d’une puissance de 80 000 Watts capable de fournir de l’électricité solaire à 20 foyers environ.
Le développement du quartier se fera dans l’enceinte de l’ancienne caserne pour proposer un site à la fois paisible et tout proche du centre urbain. La partie plus au sud après le manège à chevaux pourra être plus naturelle et connectée au marais et ses espaces végétalisés.